Nous etions à deux pas.
Il ne faut qu'une seule goutte,
Pour pourrir le plus clair des champs.
Alors, nous avons construit ces montagnes.
Entre le temps où nos grandissions
Et celui où nous tenions debout.
Parce que nous avions ni force pour monter,
Ni armes pour les faire tomber.
Laissez-nous perdre.
Rien n'est à saisir,
Tout est à retrouver.